Altitude


Avant d'étudier les risques en altitude cliquer ici pour voir notre première expérience, ici pour nos expériences plus poussées et ici pour les résultats de nos expériences. Ces expériences permettent de vérifier les risques encourus par l'homme lorsqu'il subit une pression en altitude.

En montagne, les risques dus à la pression atmosphérique ne sont pas les mêmes que les risques engendrés par la pression hydrostatique, en plongée.

Il y a le mal aigu des montagnes appelé aussi hypoxie, qui se traduit par l'apparition des maux de tête, des essoufflements et œdèmes pulmonaires. Pour limiter ces risques, on demande aux gens de monter doucement, de s’habituer. Il y a parfois des médicaments de pris, afin de ne pas avoir d’accidents.
Ainsi que des problèmes de barotraumatismes qui correspondent à l’augmentation des volumes gazeux et des risques de gelures et d’hypothermie lié à la baisse de la température. Et enfin, la teneur en eau qui diminue dans l'organisme et qui peut provoquer une déshydratation et des coliques.

Ces accidents sont vus dans des zones de haute montagne. En France il n'y a pas de cas vraiment comme cela, il faut aller dans la Cordillère des Andes ou l’Himalaya pour avoir ce type d’accident. Il peut y avoir des gens gênés lors de l’ascension du Mont Blanc avec l’altitude, mais pas comme je vous l’ai indiqué avec les symptômes du « mal des montagnes ».

Le traitement est de redescendre à une pression moins importante. Il y a des petits caissons hypobares qui sont utilisés pour cela, ils sont plus petits et en tissus, ils sont transportables. Alors que les caissons hyperbares sont gros et intransportables.

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